Si le monstre n'attend pas à votre porte, c'est que vous l'avez déjà laissé entrer. [Recueil d'OS]
Devenir Auror, toi ? – Sous la menace du Serpent, Alice se tient prête. Peu importe le prix à payer, les potions ratées, les titulaires grognons, la machine à café qui déconne et les Mangemorts qui se rassemblent dans l'ombre... Sans compter qu'il est là, lui aussi, le mystérieux Frank Londubat.
Parce que la vie est dure, quand on a quinze ans. [Journal intime de Tom Jedusor, 5e année.]
Devant lui, une boîte qui ressemble à un petit coffre, une boîte en bois, ouvragée, dotée d'un loquet de fer qu'il n'a jamais pris la peine de fermer. Il se tient debout dans la petite chambre, prêt à l'ouvrir, incapable de détacher ses yeux du dessin tracé dans la fine couche de poussière.
"Ode à la résilience" – Gazette du Sorcier ; "Un témoignage courageux sur la dépression" – Sorcière Hebdo ; "Une histoire d'amour qui prend aux tripes" – Le Chicaneur. [OS]
La rentrée, c'est la ruée vers l'inconnu, ce moment où l'on doit partir ou laisser partir. Parce que tout est possible, quand on est encore sur le quai. [Recueil de Drabbles – festumsempra]
Scorpius et Rose n'avaient eu le moindre contact depuis la fin de Poudlard. Et ce n'était pas prêt de changer. Mais voilà, impliqués dans un drame malgré eux, ils se retrouvent bien obligés de collaborer. Parce que cette foutue lettre pourrait bien signer la fin du monde sorcier...
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir du Tournoi des Trois Sorciers d'un point de vue purement administratif… et d'un obscur club de bavboules dans les années 60.
Mimi est morte. Alors depuis, elle hante les toilettes du couloir du deuxième étage. Et quelques individus choisis.
Certains disent que le journal intime est la fenêtre de l'âme. Je ne sais pas trop mais si vous ouvrez la mienne, vous risquez d'en traverser une. Peut-être même celle de la tour d'astronomie !
OS - Je ne sais pas ce qui m'a pris. Vraiment, je l'ignore. Quelque chose s'est passé en moi à cet instant, un frisson dans le creux du ventre et j'ai tout simplement disjoncté. C'était son rire, l'adorable plissement de son nez, ses fossettes ; j'ai ouvert la bouche pour rire avec elle et tout a basculé.
James ne sait plus où il en est, pourquoi tout perd tellement de sens, tout à coup. Qui est-il vraiment ? Et plus important : qui est cette fille, dissimulée dans le noir, avec qui il échange tant de silence ? - OS
OS - C'est le hasard, aurais-je pu lui dire. Mais je me tais. J'ai trop de respect pour sa douleur, je m'en voudrais de fausser sa haine. C'est la seule chose qui nous relie encore, elle et moi.
OS - Qu'y a-t-il après une tragédie comme celle-là ? Le silence, la ronde des détraqueurs, les souvenirs. La fin n'existe pas, ça s'appelle le début d'autre chose. On ne cesse jamais complètement de se battre...
Drago et un inconnu, dans les temps troubles de l'après-guerre. Comment fait-on pour se réveiller correctement d'un long cauchemar ? -OS
"Le vieil homme se trompe. Notre vie n'est qu'un immense jeu de hasard, de combats qui nous dépassent et de devinettes trompeuses. Nous sommes les marionnettes de Dumbledore, des pions pour la noble cause. Nous sommes les pièces restantes en fin de partie - courir ou mourir - alors même qu'au fond de nous, on sait que la partie est déjà terminée." - OS
Ses courses à la main, ses chaussons écossais aux pieds, son chat préféré trottinant derrière elle ; c'était pourtant un jour ordinaire. Si ce n'est qu'il était là, lui, taillant avec minutie ses roses. Il ne lui en avait pas fallu davantage pour tomber amoureuse. - OS
OS - Dire qu'ils m'ont assigné le monde sorcier en punition... Tout ça pour une petite erreur de parcours. Oui, Lord Voldemort, c'est ma faute, mais j'ai toujours fait mon boulot ! Ah, ils veulent voir ce que c'est, des flèches mal-lancées ? Très bien. Ils vont voir... ce qu'ils vont voir.
La guerre est terminée, place à la reconstruction, aux innovations, aux dernières traces d'animosité. On pique aux moldus quelques technologie avec bonne humeur et on s'amuse avec, il parait que Facebook facilite la vie. Ou pas.
Après la guerre, quelques traumatismes sont bien ancrés. ce qui explique que Harry & cie viennent consulter en groupe un malheureux psychologue innocent. Une minute de silence en son hommage, le pauvre... Petit délire nocturne :