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louisalibi

  • À y laisser la peau

    "Ça y est, c'est la fin. Maintenant que cette tumultueuse mascarade est terminée, maintenant que Lord Voldemort est tombé, que se passera-t-il ? Tes yeux gris regardent dans le vide. Une unique question prend possession de ton esprit : "Et après ?" Une analyse psychologique, des sentiments ambigus, un Serpent, un Lion, un champ de bataille, et un Adieu.

  • Une Johnlock sauvage apparaît

    "Tu te tiens debout, au centre de la pièce, un verre de vin rouge à la main et un sourire pendu aux lèvres. À l'intérieur mon cœur se tord. Tu ne sais pas, toi. Tu ne sais pas que je suis malade de toi, dingue de ton corps, fou de ton être. C'est pas ma faute, on n'avait qu'à pas se rencontrer y'a cinq ans." Parce-que ceci est tout sauf une Johnlock.

  • Pour ne plus avoir en mémoire que ta voix et ces trois mots

    "Ça devait arriver. Aucun amour ne dure éternellement. Je savais bien que je finirais par te lasser, toi, le génie, le puissant Sherlock Holmes. Alors pourquoi, pourquoi ça fait si mal ?..." John Watson est devenu vieux, et Sherlock ne trouve plus rien en lui qui puisse le divertir. Angst, léger Slash.

  • Il n'y avait plus pour nous que des instants

    "Je me souviens de l'époque où nos corps aimaient à se poursuivre sans trêve. Le Temps, lui, avait vite fait de nous rattraper ; et alors il n'y avait plus pour nous que des instants. Aujourd'hui tout me revient en mémoire, nos morceaux de chairs, nos reflets de vie." Une série de drabbles courts s'attardant sur quelques instants de vie intimes entre Sherlock et John. Slash.

  • Pour avoir le droit d'exister aux yeux du monde

    "Christopher... C'est doux, comme nom. C'est velouté, c'est fin, presque sensuel. Une sensualité pure. Christopher c'est un nom innocent, un nom de gamin émotif. Un Christopher ne peut pas être quelqu'un de mauvais. Alors pourquoi lui, pourquoi ce Christopher-là, il a décidé de devenir un super-vilain ?" Une courte analyse du personnage de Chris D'Amico.

  • Blessures de guerre

    "Sherlock n'aimait pas la douleur. C'était un peu comme une phobie : il ne supportait pas de souffrir. Cela le mettait hors de lui. Toutes les sortes de douleur, Sherlock voulait en rester éloigné. C'est ainsi qu'il en avait décidé. Il vivrait sans jamais avoir mal." OS Teen-lock, AVERTISSEMENT : violences physiques et verbales.

  • Souvenirs d'un autre temps

    Les cris des enfants enjoués résonnent dans l'aire de jeu. Pour une fois dans Londres, le temps est propice au bonheur, et le soleil, radieux, baigne de sa chaleur les petits êtres insouciants qui courent à travers le parc. ParentLock.

  • Le feu du ciel

    "Le choc de la sphère sur la peau épaisse du reptile se perd en une mascarade d'explosions assourdissantes et de cris de douleurs. La Bête hurle à s'en déchirer les poumons, et le vent n'apaise pas les plaies béantes que ton venin a laissé sur ses ailes."

  • Hymne à l'Amour

    Un poème rapide, sans prétention ni sens, traitant d'amour, de chagrin et de passion. De péché, aussi, de femmes qui aime les femmes et de mouton qui volent les princes. Je vous l'ai déjà dit, je suis nulle en résumés. Je ne peux que vous inviter à venir vous approcher.

  • When your words mean nothing

    "Je me couvre les oreilles pour ne rien entendre de vous. Comme un enfant. C'est tellement pathétique..." Une courte Song-fic, inspirée du titre Lalala (Naughty Boy) tournant autour du personnage de Sherlock et de sa capacité à rester sourd aux paroles des autres. Ce comportement enfantin ne cacherait-il pas une douleur plus intense, ancrée au plus profond de son cœur froid ?

  • L'Art d'Aimer

    Maintenant que John a enseigné l'Art d'Aimer à notre détective préféré, il ne peut plus faire marche arrière. Il ne peut pas l'abandonner ainsi, sans un mot, pour soi-disant aller vivre heureux avec Mary Morstan. C'est tout simplement impossible, et de toute façon, ça sonnerait faux. Car Sherlock aime John, et ça, nous le savons tous. John/Sherlock Soft, chapitre deux à venir.

  • Carnival of Rust

    Une petite Song Fic tirant sur la prose qui relate du ressenti de Leo suite à la mort d'Elliot. Plutôt tragique et un brin fleur bleue, déconseillée aux non-amateurs de shonen-ai. Certes écrite en partie pour élargir le fandom français sur ce couple -qui reste un peu désert- mais écrite non moins avec amour. Plus de précisions à l'intérieur, je ne suis pas très bonne en résumé.