Dans un Midgard où rien ne dure, les rêves ne sont que poussières. Ouvrir les yeux et regarder devant. Qui suis-je, où suis-je ? Des souvenirs seulement vieux d'une heure. 122 jours de vie. Ouvrir les yeux et regarder droit devant. Des souvenirs amers. Des larmes.
Une Lightning voleuse de clichés photographiques, un Sazh chauffeur de taxi dans les égouts de Paris, un Hope dynamiteur d'aqueducs, une Vanille danseuse dans un cabaret aérien, une Fang psychologue aquatique pour poissons lunatiques, une Serah tueuse d'horloges de qualités, un Snow commerçant de poussières.
Il est curieux de voir que nous ne sommes pas tous égaux. Que malgré notre nature humaine identique chez tous, certains se placent au dessus pour diriger. Comme les hommes se placent toujours au dessus des femmes. Ou l'histoire de Crisis Core réécrite dans la peau d'une femme. Dans la peau d'un Cloud au féminin. Que se passe-t-il dans ce cas là ?
Détruit toujours ce qui te nuit avant que cela ne te détruise . Hanté par la mort d'un proche. Il aime découvrir, savoir. Il sait aimer. Il est jeune et promit à un grand avenir de scientifique renommé. Il l'aime elle. Où tout simplement la jeunesse de Hojo, la décadence d'un homme, et comment il est devenu celui que l'on connaît.
Notre seule liberté est celle de rêver. Alors je me permets de rêver de liberté. Depuis mon arrivée par boîte dans ce refuge appelé bloc, depuis mes dérapages incontrôlés avec cette foule d'inconnus, et mes nombreuses réflexions quant à ces murs immenses, je pense pouvoir affirmer que c'est la seule chose que je suis capable de faire. Rêver.
Ma vie n'en est pas une. Elle est juste ma vie. Faite de meurtres, de missions, et d'ordres. Peuplée de ces hommes que l'on nomme les Turks. Moi, je suis leur femme. Eux, ils sont mes hommes. Commandés par un autre, futur président de notre compagnie. Et que cet homme aille au diable.
Le quotidien mouvementé d'une étudiante pas si classique que ça. Entre ses amis, son lycée, et elle même, sa vie est largement occupée. Mais il y a une chose qui la tourmente plus que tout : son attirance irrévocable et invivable pour son professeur de maths, d'à peine dix ans son aîné. YuffiexVincent
On ne peut pas dire la peine. On ne peut que la ressentir. C'est peut être cette douleur fluide emprise jusque dans mes os qui me pousse à regretter Sin. Juste parce que notre victoire contre ce titan a balayé quelqu'un pour qui je regrette ce fléau. Pour qui me projeter dix ans en arrière n'est pas une frayeur. AuronxRikku.